Entre passion, transmission et joie de vivre

« Depuis que je suis chez OneChocolate, j’ai beaucoup appris et gagné en autonomie et cela n’a fait que confirmer mon choix de carrière en tant qu’attachée de presse. Je suis aujourd’hui en mesure d’assister pleinement les directeurs de clientèle, tout en transmettant mes connaissances aux stagiaires et aux collègues qui occupent des postes juniors. »

Arrivée en décembre 2017 chez OneChocolate, Alexandra a d’abord débuté en tant qu’attachée de presse junior avant de prendre les fonctions de chargée de compte en septembre 2020. Son poste requiert de travailler en étroite collaboration avec les directeurs de clientèle, le directeur de l’agence et ses collègues juniors pour mettre en place les stratégies RP des clients de l’agence. Son caractère passionné la pousse à toujours être à la recherche de la meilleure opportunité pour les clients de l’agence. Elle affiche un goût pour le travail en équipe et s’attache à transmettre ses connaissances à d’autres, puisqu’elle a pour responsabilité le recrutement et la formation des stagiaires.

Fille de musicien, passionnée de musique et fan de David Bowie, Alexandra a su très vite qu’elle désirait faire carrière en tant qu’attachée de presse. En effet, après un master en relations internationales et sociétales, parcours anglophone et la rédaction d’un mémoire sur l’influence du rock’n’roll sur la jeunesse américaine des années 1950, elle débute son parcours dans les RP auprès de Bernadette Py, qui a exercé une influence majeure sur son choix de devenir attachée de presse, au sein d’une agence spécialisée dans le tourisme. Pour citer ses propres mots : « Le crash en 2014 d’un avion de Malaysia Airlines – l’un de nos clients de l’époque – et la gestion de crise qui s’en est suivie a été un événement majeur qui a définitivement confirmé ma passion pour le travail d’attachée de presse. »

Dotée d’un penchant particulier pour la langue anglaise, pour laquelle elle a développé un intérêt très jeune, elle l’exerce quotidiennement au sein de OneChocolate puisque la majorité de ses clients sont basés dans des pays anglo-saxons. Elle se définit comme une collaboratrice motivée et impliquée, qui prend chaque jour du plaisir dans ce qu’elle fait. Comme elle l’exprime avec facétie : « Si je devais choisir un super-pouvoir, ce serait celui de savoir lire dans l’esprit des journalistes. » Toutefois, son intérêt pour le travail ne l’empêche pas de profiter pleinement de la vie – qu’elle partage avec un développeur, un avantage certain dans une agence qui possède autant de clients spécialistes de solutions IT. Cette grande lectrice, qui s’est prise d’affection pour les œuvres de Jeffrey Eugenides, a également trouvé dans sa grand-mère, qui, « à l’âge de 45 ans, a décidé de devenir aide-soignante et a tout fait pour y parvenir », une inspiration. Elle espère un jour réussir à faire preuve de la même force de caractère, tant dans sa vie personnelle que professionnelle.

Paroles pêle-mêle

– Que représente le travail à mes yeux ?

À mon sens, le travail représente une partie importante de la vie et c’est un domaine où chacun passe une grande part de son temps. Il est donc essentiel de prendre du plaisir dans ce que l’on y fait, de s’y épanouir et de s’y sentir bien. D’ailleurs le travail a parfois une influence particulière sur ma vie. En effet, ayant travaillé au début de ma carrière pour des clients dans le secteur aérien, je me suis prise de passion pour les compagnies aériennes, à tel point que chaque fois que quelqu’un m’annonce partir en voyage, je ne peux pas m’empêcher de lui demander le nom de la compagnie, le modèle de l’avion, etc. 

– L’un des événements les plus insolites que j’ai vécus ?

Il s’agit d’un moment particulier, qui a d’ailleurs un lien direct avec OneChocolate, puisque c’est le jour où j’ai accepté le poste d’attachée de presse à l’agence. Ce jour-là, je me trouvais à Malte, sur la plage, profitant de vacances bien méritées. J’ai appelé Edouard [directeur de l’agence] et le vent soufflait tellement fort que nous avions du mal à nous comprendre, j’ai donc dû m’abriter derrière un rocher, et je me souviens m’être dit que ce n’est pas tous les jours qu’on accepte un job dans un contexte aussi incongru. 

 

Portrait par Benjamin Mallais